"Un temps pour nous" : tous réunis pendant deux jours !
formation, partage, recherche de sens, jeux...
Plutôt que de proposer de manière dispersée sur l’année des journées de formation et de rencontre, nous avons opté pour un évènement : « Un temps pour nous » Géant !
Les chiffres d’abord ! : deux jours entiers, chez les sœurs de la Providence à Ars-en-Formans, 44 heures de formation, 14 heures d’échange, un apéritif « belles pousses », une veillée, une visite d’Ars, une messe d’action de grâce, trois repas, un copil d’organisation de sept salariés, 24 bénévoles et quatre intervenants extérieurs, 135 personnes inscrites, 120 présents sur 350 bénévoles, soit 34% de nos forces ! 87% des équipes présentes !
« J’ai aimé les multiples rencontres entre bénévoles, la part importante des nouveaux ! »
« J’ai aimé la joie des personnes, la diversité des groupes »
« Tous ensemble c’est top ! »
« Ces temps conviviaux et fraternels +++, comme l’apéro qui a fini en temps de danse ! »
« La fluidité de l’organisation, une logistique au top ! Aucun couac, comme si on avait fait cela depuis dix ans ! »
« Cela nous a permis de mettre un cadre sur ce que nous voulons vivre au Secours Catholique, c’était une belle occasion de rencontrer les bénévoles d’autres équipes, de partager nos compétences, d’échanger sur les bonnes pratiques ! »
Par contre...
« Les propositions était si nombreuses que le choix était difficile et on ne pouvait pas tout faire ! »
« Du rhum dans le punch ! » ;-)
« Nous ne saurons oublier cette difficulté relevée par les bénévoles de l’accueil-écoute : en face d’une personne qui ne peut s’ouvrir, quelle posture ! Il faut faire l’expérience de la bienheureuse impuissance, non celle qui s’avoue vaincue, mais celle qui se déploie dans l’hospitalité du silence. »
« Quant aux « chercheurs spirituels », en quête de l’intériorité et du sens, certaines interrogations ont trouvé réponses et d’autres ont émergées. Que dire de plus du temps pris pour comprendre le parcours chaotique du public migrant ? Il reste un vaste champ de batailles ; il questionne en son essence la diaconie sociale qui lutte pour le respect et la dignité de toute personne. Autre sujet abordé, si le mot “bénévole“ semble flou et mérite d’être clarifié dans ses contours, il y a au moins une joie à donner de son temps de manière gratuite et régulière pour une cause commune et autour de valeurs partagées en équipe. »
« L’espace « veillée –jeux » fut également révélateur de potentialités jusque-là engluées. De la réticence ou relâchement contrôlé, les chants et la danse furent le bonheur de tous, aussi bien de danseurs que de curieux, même le petit enfant dans sa poussette y participe ! Je ne peux oublier ce jeu de devinette où nous attendions le mot “espoir“ et ce sont les mots “poires“ et “proies“ qui sont venus. Qui dit mieux ? En l’absence de la proie, la poire fait le bonheur et redonne espoir, une raison d’espérance pour une organisation réussie ! Viens et découvre, le meilleur est à venir ! »
Crédit : Secours Catholique de l'Ain